Blanche Bresson

En Chine, en Inde, en Afrique, la médecine des "Anciens" est encore très présente. Cela représente près de 4,5 milliards d’individus (plus de la moitié de la population mondiale !) en contact avec les usages ancestraux transmis de génération en génération. À côté de notre médecine moderne, Oui, il existe une autre façon de se soigner héritée d’une connaissance millénaire.

Sans rejeter pour autant les apports récents de la médecine dite scientifique, il faut bien reconnaître que les usages traditionnels, issus de la nature et des plantes, ont toujours leurs adeptes... Chez nous, en Europe, de plus en plus de praticiens s’y intéressent, et pour cause !

C’est une pratique douce, et pour le novice elle est aussi plus simple à comprendre, car loin des jargons scientifiques, elle nous parle de plantes courantes de notre environnement, des éléments qui font partie de notre univers familier. Dans ce numéro, je veux faire avec vous un petit tour d’horizon de ces usages traditionnels qui gagnent vraiment à être connus !

C’EST EN AFRIQUE, "berceau de l ’humanité" QU’EST NÉ LE PREMIER «HOMME MÉDECINE»

Depuis des siècles, la médecine traditionnelle constitue une source de santé fiable et abordable pour les populations africaines. A ce jour, 80% de la population du continent dépend de la médecine traditionnelle pour répondre à ses besoins sanitaires essentiels.

Et n’allez pas imaginer que je parle ici de croyances rituelles ou de superstition : la médecine traditionnelle est tout ce qu’il y a de plus sérieux et on retrouve ses fondements plus de 3000 ans avant Jésus-Christ.

IMHOTEP, LE PÈRE DE LA MÉDECINE

Des milliers d’années avant Hippocrate, un médecin égyptien de génie diagnostiquait et traitait scientifiquement les maladies. Il s’appelait Imhotep.

Imhotep était architecte, ingénieur, philosophe, prêtre et médecin. Il a écrit le tout premier ouvrage scientifique d’importance médicale : un papyrus de 15 pieds de long, avec des écritures sur les deux faces, découvert en 1862 par des pilleurs de tombes en Égypte.

En près de 500 lignes de texte, dont 48 études de cas, ces écrits portent sur le diagnostic médical, l’examen, les résultats, le pronostic et la thérapie.

LA MÉDECINE PAR LES PLANTES... CE N’EST VRAIMENT PAS SORCIER !

Mais il a fallu encore quelques siècles pour que ces savoirs se retrouvent au plus profond du continent africain...

En Afrique noire, on n’a pas attendu l’époque de la colonisation et la médecine européenne pour traiter avec efficacité les symptômes associés aux effets du vieillissement.

Parmi ces effets, celui qui préoccupait en premier lieu les chefs des tribus concernait les troubles liés au grossissement physiologique de la prostate. Car ces troubles ont des impacts directs sur le bien-être urinaire et sur la virilité...

C’est ainsi que l’on a commencé à utiliser l’écorce du prunier africain.

On a découvert bien plus tard, par des recherches scientifiques, que cette écorce renfermait des phytostérols, des composés actifs qui inhibent l’enzyme à l’origine de l’augmentation de volume de la prostate.

EN CHINE, une racine millénaire RÉPUTÉE POUR STIMULER LA LIBIDO

Vous le savez : dans les temps anciens, le « patriarcat » régnait de façon absolue partout dans le monde. La domination des hommes était totale et, même si cela nous révolte aujourd’hui, il faut bien l’admettre : les préoccupations touchant spécifiquement la santé masculine tenaient une place importante dans la médecine.

Et cela se vérifie notamment dans les usages traditionnels chinois... Je veux parler de la racine de ginseng Panax...

LA PANACÉE POUR NOS PROBLÈMES INTIMES

C’est sans doute ce que se disent encore aujourd’hui les hommes, jeunes ou moins jeunes, en se transmettant, avec un brin de complicité, le précieux secret de cette racine au pouvoir hautement « stimulant » !

Au premier millénaire, sous la dynastie des Wu et des Min, les empereurs en faisaient bon usage afin d’améliorer leurs performances et satisfaire leurs nombreuses concubines qui peuplaient la Cité impériale.

On dit même que, de leur côté, depuis des jours et des lunes, les femmes asiatiques ont adopté elles aussi cette aide naturelle pour raviver leur désir.

Une fois encore, l’efficacité de cet usage traditionnel peut, aujourd’hui, s’expliquer scientifiquement par la composition de cette racine prétendument « miraculeuse » : elle offre en effet une richesse inégalable en ginsénosides immunostimulants, vitamines B et C, acides aminés essentiels, oligo-éléments et sels minéraux...

DÉBIT URINAIRE... PRENEZ-EN DE LA GRAINE !

Partons maintenant en Amérique et faisons remonter le compteur du temps 10 000 ans en arrière, bien avant l’arrivée de Christophe Colomb, lorsque les populations indigènes vivaient paisiblement, en totale harmonie avec l’univers.

À cette époque, les chamans prodiguaient des remèdes qui résonnent encore dans nos usages actuels.

Par exemple, les tribus des Algonquins et des Cherokees connaissent encore le pouvoir étonnant des pépins de courge, qu’ils ont longtemps utilisés comme remède contre les problèmes masculins liés au vieillissement.

ET CETTE PETITE GRAINE a FAIT SON CHEMIN !

Aujourd’hui, grâce aux progrès techniques, la fabrication de l’huile de pépins de courge a permis d’optimiser ses effets bénéfiques.

Tous les hommes ressentant une certaine gêne urinaire seront conquis par les résultats probants qu’offre sa consommation régulière : le jet devient plus fort et continu, avec moins de gouttes retardataires et moins d’envies pressantes...

Eh oui, nous, les hommes du 21ᵉ siècle, pouvons dire « merci » à ces savants ancestraux en matière de confort urinaire, ils avaient déjà tout compris !

EN INDE la santé cardio-vasculaire EST TRAITÉE NATURELLEMENT

Et que dire, enfin, de la médecine traditionnelle indienne ? Vieille de 4 000 ans, elle concerne pas moins d’un milliard et demi de personnes sur Terre.

À l’origine, l’ayurvéda (nom donné à la médecine traditionnelle en Inde) est bien plus qu’une pratique médicale, c’est toute une philosophie. Selon ses fondements, nous faisons partie intégrante du cosmos et des éléments qui constituent l’univers : la nature, la terre, les plantes, les minéraux...

Quant aux diverses maladies, elles résulteraient d’un déséquilibre des forces vitales de l’organisme (prana). La médecine ayurvédique vise donc à rétablir cet équilibre fragile.

LES «BHAGATS», GARDIENS D’UNE SAGESSE ANCESTRALE ET GUÉRISSEURS TRADITIONNELS

Les chercheurs ont découvert que ses feuilles contenaient des composés bénéfiques pour la santé : des terpénoïdes et des flavonoïdes, qui favorisent l’irrigation du cerveau.

Oui, ces flavonoïdes sont reconnus scientifiquement pour améliorer la circulation sanguine et exercer une action antioxydante utile pour le cerveau. Le sang oxygène et nourrit mieux toutes les cellules, y compris les neurones, stimulant ainsi l’activité cérébrale. Cela aide à se préserver du déclin cognitif lié à l’âge, notamment en termes de concentration et de mémoire.

À propos de mémoire... Ne vous arrive-t-il pas, parfois, d’oublier un numéro de téléphone que vous composez habituellement par cœur ? Ou même le prénom d’une personne de votre entourage ? Ces problèmes de mémoire à court terme sont assez courants avec l’âge.

Là encore, les connaissances et les pratiques traditionnelles nous encouragent à faire confiance à des bienfaits réputés...

Nos solutions en tiennent compte, naturellement !

Très attentif aux savoirs et aux pratiques traditionnelles, notre institut a tenu compte des vertus reconnues du lilas des Indes et de la cannelle, pour les intégrer dans le complément alimentaire phyto Insuregul Plus.

LE SUCRE, AMI ÉNERGISANT MAIS AUSSI ENNEMI DES VAISSEAUX SANGUINS !

Connus sous le nom de « Bhagats », ces praticiens savants soignaient (et soignent encore) les maux physiques par l’usage de rituels et de plantes.

Parmi les innombrables plantes bénéfiques, citons l’exemple du lilas des Indes, également bien connu dans l’usage traditionnel asiatique. Il peut jouer un rôle contre une glycémie trop élevée, c’est-à-dire l’excès de sucre.

Une glycémie élevée peut affecter les vaisseaux sanguins et entraîner, à terme, des accidents cardiovasculaires. Les propriétés du lilas des Indes peuvent aider à bloquer le sucre provenant de l’alimentation.

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Je vous dis à bientôt, pour découvrir encore plein d’autres plantes aux effets incroyablement bénéfiques pour votre santé !