Derrière ce « miracle » il y a une explication scientifique : des recherches approfondies en laboratoire, ont en effet réussi à «isoler», dans la structure biologique de la plante, la molécule bio-active à l’origine de ses propriétés anti-inflammatoires. Il s’agit de l’harpagoside. Dans mes tiroirs, je conserve tous les rapports scientifiques concernant l’efficacité des plantes. Et je peux vous dire que j’ai un dossier complet de résultats d’études sur l’harpagophytum : par exemple, l’étude Ribbat menée en 2001, où 82% des personnes interrogées ont jugé que l’harpagophytum était efficace pour réduire l’intensité de gêne articulaire. Et pour 60% des personnes, la prise d’harpagophytum a permis de diminuer ou même d’arrêter complètement la prise de médicaments anti-inflammatoires. Et reconnaissons que pour l’organisme, une solution naturelle sera toujours préférable à une solution chimique.
D’ailleurs, dans l’Antiquité, la chimie n’existait pas et en Egypte ancienne déjà, on faisait appel aux trésors de la nature pour apaiser divers maux (des momies en portent les traces). En témoigne le long papyrus Ebers daté du VIème siècle avant J.C. retrouvé à Louxor : c’est le premier recueil de pharmacologie de l’humanité, il mettait déjà en lumière les effets de synergie obtenus quand on associait divers ingrédients entre eux, notamment pour apaiser le feu articulaire».
Les Anciens savaient concocter des remèdes pour améliorer leur bien-être. Et ils savaient aussi que dans l’organisme tout était en lié : le physique comme le mental, en particulier le rôle du sommeil sur l’état de santé général.